Par la fenêtre étoilée
L’arbre au front d’or constellé
De ses atours se dépouille
Dans la lumière habitée
Un paysage oublié
Reprend forme, puis se brouille
Le murmure de l’hiver
Serpente sous le couvert
De gouttes bleues qui ne mouillent
Il ira bientôt chassant
Les feuilles tourbillonnant
Nuées d’or piquées de rouille
Avant que la bise attaque
Amie, goûtons la joie que
Les ans ni la mort ne souillent
Verlaine n’a qu’à bien se tenir!
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C’est sûr, la compétition est rude ! ……. 😉
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Les rimes de ce poème, tout comme les feuilles, tourbillonnent comme dans un bal de sensations douces, le lecteur que je suis est conquis !
Cette chanson d’automne fait tourner les têtes et chavirer les cœurs les plus endurcis.
Amitiés amicales 🙂
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Merci beaucoup Verlibriste ! 🙂
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Très joli poème, très inspiré ! La forme en tercets est originale.
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Merci beaucoup ! 🙂
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