Partout l’haleine de feuillages
rêvés
La cathédrale est aphone
Gueules dressées, les rangs d’euphorbes
menacent printemps
Le vent
hésite et s’étonne : qui étreindra,
l’indéchiffrable absence ?
– mais tu frissonnes…
C’est le vide le vide qui
se vend à l’aune
entre les corps
Aucun oiseau
riche d’un vol
ne nichera plus dans le lierre