l’aube a levé sa chemise
et le matin gonfle les voiles
entre les oriflammes de brume
tressés de laine de de soleil
et d’herbe gorgée de rosée,
promesse de longue journée.
(ou quelque chose comme ça, “purement artistique et spirituel”)
Où l’on retrouve te marée de lumière si joliment évoquée plus tôt. C’est le moment que je préfère, quand tout est neuf, que tout dort encore, cette sensation égoïste sans doute, que le monde nous appartient et que tout est possible.
J’aime beaucoup ta série de photos.
Merci beaucoup Almanito ! Tu te souviens de la tirade d’Antigone sur le monde qui dort encore, dans la pièce d’Anouilh ? Comme toi elle préfère cette heure d’avant les heures.
l’aube a levé sa chemise
et le matin gonfle les voiles
entre les oriflammes de brume
tressés de laine de de soleil
et d’herbe gorgée de rosée,
promesse de longue journée.
(ou quelque chose comme ça, “purement artistique et spirituel”)
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Merci Carnets de ce poème qui va comme un gant (une chemisette?) à cette aurore !
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Où l’on retrouve te marée de lumière si joliment évoquée plus tôt. C’est le moment que je préfère, quand tout est neuf, que tout dort encore, cette sensation égoïste sans doute, que le monde nous appartient et que tout est possible.
J’aime beaucoup ta série de photos.
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Merci beaucoup Almanito ! Tu te souviens de la tirade d’Antigone sur le monde qui dort encore, dans la pièce d’Anouilh ? Comme toi elle préfère cette heure d’avant les heures.
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Quand ” le jardin ne pense pas encore aux hommes” ? Magnifique.
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Emerveillement du matin. Merci pour ce cadeau.
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