Insondable profondeur
Ton regard – si doux
Où veille un astre funeste
———
Renflement d’opale
Doucement déferle
La vague de ton épaule
———
Si ce soir la solitude
Te serre à la gorge
De ton nom, dépouille-toi
———
Le silence dans ses paumes
De ténèbres t’enveloppe
Tu sais le chemin
———
O frère solaire
sous le boisseau de la nuit
survis, pas à pas
Ils sont magnifiques ! Et tu me manques…
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Merci ma Chloé ! J’espère que tu vas bien et que tes séances au dojo t’aident.
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Ils sont vraiment très beaux, il y a quelque chose de doux et de touchant dans leur ajustement et leur harmonie.
Vraiment belle inspiration pour ces haïkus !
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Merci beaucoup ! Je suis aussi allée visiter votre blog, et je vais le suivre ! Vos poèmes sont très vivants, et j’aime les formes contraignantes et narratives.
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Je découvre, à travers vos yeux, “les formes narratives” que je n’avais encore jamais vues sous cet angle.
Comme quoi un seul regard peut changer la vision de son propre travail en décalant l’angle d’optique.
Puisque jusqu’ici, Je n’y voyais l’expression qu’à travers la métaphore. Quant à la contrainte, bizarrement, elle s’impose d’elle même, finalement sans vraie contrainte pour moi.
Merci pour votre éclairage
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