waves in the morning
rays in the night
the light is shining through
through your body
brother
time flows in circle
and where it falls
into Eternity
you breathe again
and rise
early on its way
age is coming
so fades my memory
still my heart waits
brother
still my heart waits
in love
In the Writing Garden 
C’est très beau. Pour moi, il entre dans la catégorie des poèmes du dojo. M’autoriserais-tu à le faire partager? (Tu vas me dire, il est déjà un peu public puisqu’il est sur ton blog, mais je demande tout de même l’autorisation…)
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Je suis contente qu’il te plaise ! Bien sûr, tu peux le faire partager. Mais moi je voudrais partager de tes poèmes à toi, comme tu le sais.
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Je viens de le relire encore, et je l’aime vraiment beaucoup, beaucoup. A travers l’autre langue, je sens sa justesse. Et je suis effectivement bercée par son rythme – et comme cela fait écho en moi à un besoin profond !
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J’ai écrit les trois derniers poèmes pour dire un état de bouleversement ou d’émerveillement, et quand j’y repense, je vois que je me suis acheminée lentement vers ce que je voulais vraiment faire, c’est-à-dire un poème d’amour, mais que je n’arrive pas encore, je n’ose pas, j’ai un peu peur et un peu honte. Et je repense à ce que tu as écrit une fois, que tu conçois un poème comme une lettre d’amour. Et en fait, je fais des tentatives, souvent assez narratives, mais ce que mon coeur voudrait vraiment, c’est écrire un poème d’amour.
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